Spécialiste de l’investissement outre-mer, le groupe Océanic accélère son développement à Brest avec un programme de quatre-vingt-douze logements en coeur de ville. Opportunité rare en Bretagne, l’opération est éligible au Pinel breton jusqu’au 31 décembre 2021 ! B ien connu des investisseurs pour ses opérations en Guyane, le groupe Océa- nic est né en 1993 sous la forme d’un cabinet de CGP, avant de se déployer autour de trois métiers:la promotion, l’activité d’agence immobilière et la gestion de patrimoine. Un choix qui lui permet d’offrir à la clientèle un service complet. «Recherche du foncier, maîtrise d’ouvrage, gestion locative, revente… Nous accompagnons l’investisseur du début à la fin. C’est la clé de notre succès», explique Elena Azria, directrice du développement du groupe Océanic.
. Brest: le vent en poupe
Si le groupe vient d’être récompensé d’une quatrième Pyramide de la gestion de patrimoine dans la catégorie Immobilier neuf outre-mer, c’est à Brest que la société accroît aujourd’hui son développement, sous l’impulsion de son fondateur Patrice Azria. Pour ce Brestois d’origine, la ville offre aujourd’hui une réelle opportunité, loin du manque d’attractivité dont elle a souffert ces dernières décennies. «Brest fut longtemps la ville la moins chère de France; mais en cinq ans, l’immobilier y a pris 33 % sous l’effet de l’intérêt qu’elle suscite désormais, témoigne Elena Azria. La ville attire pour sa qualité de vie, ses activités nautiques, son pôle universitaire, le deuxième de Bretagne après Rennes, son dynamisme économique… Et malgré leur hausse, les prix restent abordables, en particulier pour des investisseurs parisiens.»En 2018, la cité du Ponant a été élue troisième ville la plus attractive de France par le magazine L’Express. Et en 2020, Forbes la conseille aux Américains pour vivre, investir et travailler, parmi vingt destinations européennes. Forte de ces atouts, Brest jouit d’une demande locative très forte, et d’un taux de vacance locative nettement plus bas que la moyenne nationale, à 6,3 % (contre 8 % sur l’ensemble de la France), alors que 53 % de la population y est locataire, sous l’effet notamment de la forte population étudiante. La rentabilité y est élevée, jusqu’à 7 à 8 % dans l’ancien et entre 3 et 4 % dans le neuf.
Intérêt supplémentaire de Brest:il est encore possible d’y faire du Pinel, tandis que la Bretagne est désormais largement exclue du dispositif. Mais il y a urgence:le Pinel breton prend fin au 31 décembre 2021.
. A partir de 144 680 € TTC
Au coeur de la ville, dans l’écoquartier des Capucins, nouveau lieu de culture et de vie d’où s’élance le fameux téléphérique, sept îlots accueilleront plus de six cents logements, dont ceux proposés par le groupe Océanic. Sous le nom de Vertigo, l’opération brestoise se compose de deux bâtiments qui se font écho dans leurs contrastes. Au premier immeuble, un R+7 massif et minéral, répond un second édifice, aux verticalités métalliques hissées en R+12. Ses «façades à ventelles verticales accrocheront les lumières changeantes du ciel brestois dans de subtiles variations de blanc suivant les moments de la journée», poétise l’architecte Guy Fauvet. Les surfaces sont généreuses, à partir de 35 m2 pour un T1 et de 97 m2 pour un T5, et presque tous les appartements disposent d’une terrasse, d’un balcon ou d’une loggia. Une attention particulière est portée à la qualité de la construction, qui bénéficie des deux labels NF et HQE, attestant la durabilité des bâtiments. Enfin, cent une places de parking couvert sont prévues, ainsi que onze caves. Proposés à partir de 144 680 € TTC (3 500 à 5 000 €/m2 en moyenne), les appartements laissent espérer une plus-value à terme, le marché brestois prenant de la valeur. La livraison de l’opération est prévue fin 2023.
Le groupe Océanic entend bien poursuivre son développement à Brest. «Peu à peu, la Bretagne pourrait représenter 40 % de notre activité de promotion immobilière, sans que l’activité en Guyane ne ralentisse pour autant», indique Elena Azria.
Pas question non plus de rogner sur la qualité. «Nous préférons faire peu, mais nous consacrer à des opérations patrimoniales», poursuit la porte-parole. Deux prochains programmes verront prochainement le jour, dont un face à la mer… Objectif: commercialiser à Brest cent-cinquante lots par an.