Avec 61 millions d’euros collectés en 2020, l’opérateur spécialiste de la défiscalisation outre-mer constate que la crise sanitaire n’a pas affecté l’engouement des investisseurs métropolitains. Pour sa campagne de collecte pour 2021, seul mot d’ordre : souscrire au plus tôt.
La crise sanitaire n’a pas affecté la défiscalisation en Girardin, selon Ecofip. Bénéficiant d’un cadre législatif stable et répondant aux besoins des entreprises ultramarines, les contribuables de métropole ont investi de manière constante en 2020. C’est ce qu’il ressort du bilan que vient d’établir Ecofip qui a traité près de 4 500 dossiers l’an passé pour un montant total collecté de 61 millions d’euros, plein droit et agrément compris. L’apport moyen était de 14 000 € pour une réduction d’impôt et de 16 000 € par investisseur. Ce sont majoritairement les hommes qui souscrivent ( 77 %) auprès des CGP, mariés ou pacsés, de moins de 60 ans. Le Girardin est prorogé jusqu’en 2025 ; ce qui assure de la stabilité et de la visibilité pour les investisseurs métropolitains. « Ils peuvent donc sereinement réduire leurs impôts sur le revenu en contrepartie d’investissements dans des biens standards, non spécifiques à fort potentiel de relocation participant à l’activité économique des départements et collectivités d’outre-mer (Dom-Com) », assure Mélanie Kabla-Tapia, la irectrice du Développement chez Ecofip. L’économie ultramarine fonctionne dans les différents territoires sans conséquences liées à la pandémie. Par ailleurs, les secteurs dont l’activité est financée par le Girardin s’inscrivent dans une économie dite prioritaire : transport, logistique, artisanat, BTP, industrie, agriculture. Ecofip dispose d’un fort maillage territorial par sa présence géographique dans les Dom-Com à travers un réseau de huit agences, et d’un bureau à Paris. « Les assurances que nous proposons couvrent les risques de défaillance dans la gestion et le montage des dossiers mais aussi certains risques périphériques au risque d’exploitation comme les sinistres ou encore les malversations des tiers », insiste Mélanie Kabla-Tapia. Ecofip encourage ses partenaires CGP « à se rapprocher de leurs clients afin de les encourager à souscrire au plus tôt, pour profiter des meilleurs taux de rentabilité : 16% de rentabilité dès ce jeudi 7 janvier ! Les stocks ne sont pas inépuisables et dépendent des besoins en financement des entreprises ultramarines (matériel industriel, machines-outils, véhicules utilitaires, etc). » En 2021, Ecofip va également poursuivre sa pédagogie financière en direction du plus grand nombre pour faire connaître davantage le dispositif Girardin qui s’adresse à tous les résidents fiscaux français, soumis à l’impôt sur le revenu et imposés à partir de 4 000 euros. Souscriptible auprès d’un conseiller en gestion de patrimoine, elle donne l’opportunité à l’investisseur d’effacer tout ou une partie de son impôt sur le revenu. L’opération dite one-shot permet à l’investisseur de bénéficier d’une rentabilité de 16% de rentabilité en début d’année. La réduction d’impôt est ensuite remboursée par la DGFIP l’année suivant l’investissement réalisé, en général durant l’été suivant. Souple et sans engagement de renouvellement d’une année sur l’autre, le Girardin permet à tout souscripteur de contribuer à l’essor économique et social des Dom-Com.
